Le premier jet a donné lieu à des corrections, et on a même fini par rajouter des idées!
Car tant qu’à mettre de la R&D, autant carrément mettre les choses les plus complexes possibles, histoire d’enfoncer le clou à toute éventuelle concurrence.
Mais dès lors, on se retrouve avec quelque chose de vraiment abouti, avec une vision à 2 ou 3 ans de ce que pourrait donner le système. Et franchement – sans parti pris, non, non, vraiment, je vous assure – on trouve cela pas mal du tout.
Si j’étais un investisseur, c’est clair, j’y mettrais de ma poche!!!
D‘ailleurs, parlons-en, de mes poches!!!
Actuellement vides, elles vont se remplir un petit peu dans quelque temps. A ce moment, j’aurai un peu d’argent, et je me dis que cela servirait bien à financer une partie de mon projet.
Cela me paraît normal d’être le premier à y aller de mon billet: qui voudrait investir sur une idée que je ne supporte pas moi-même?!?
Toutefois, il y a toujours ces doutes complexes qui m’envahissent : mais comment fait-on pour vivre pendant que l’on crée le projet sans pouvoir l’exploiter, et qu’il ne rapporte donc rien?
J‘ai cherché un moment sur le net et ce n’est jamais bien clair.
Tantôt, quelqu’un dit qu’au bout de deux ans sur son entreprise, il ne s’est toujours pas payé!!! Cela signifie t’il que cette personne dort sous les ponts chaque soir, tout en étant PDG d’une boîte qui emploie des gens, en plus???
Ou alors, on a une vague idée sur le fait que les investissements alloués payent le salaire: mais si c’est soi-même qui contribue à l’apport, on se paye un salaire? Suis-je mon propre employeur?
Quelque part, cela ne semble pas faux, mais tout de même, cela me taraude…
Demain, je vais donc probablement faire un tour dans une de ces fameuses Chambre de Commerce et d’Industrie, histoire de voir un conseiller; et enfin en savoir un peu plus sur les arcanes du financement!!! Entre autre… Car, il faut le reconnaître, je suis une quiche dans un paquet de domaine de l’entrepreneuriat…
No Comment