Nous n’avons pas encore lancé de campagne de Relation Publique, ni dans la presse, ni sur des blogs, mode ou autre.
Donc, le site reste assez informel et on a tout de même engrangé plus de 450 inscrits jusqu’ici.
On analyse actuellement les retours pour créer un produit plus simple et direct, et ensuite, on se lancera dans cette phase PR, dans laquelle nous ne sommes pas doués de toute façon.
Mais bon, ce n’est pas pour cela que j’écris aujourd’hui – quoique, c’est lié -, on vous informera de nos orientations très bientôt
Non, là j’ai envie de vous parler du travail que l’on fournit au quotidien!
Voilà des mois que l’on travaille sur notre projet, en partant de rien, pour en arriver à la réalisation!
Il ne se passe pas un jour où l’on ne travaille pas dessus! Et même en dormant, on en rêve! Et évidemment, c’est épuisant…
Je dois avouer que parfois, je voudrais prendre du recul. Partir, me ressourcer, voir autre chose que l’ensemble des choses à faire dans une boîte. Surtout qu’au début – qui dure… -, vous êtes le PDG comme la personne qui vide les poubelles, en passant par le marketeur, codeur, designer, comptable, juriste, etc… Du moins dans la limite de vos capacités, évidemment.
Sauf que se ressourcer, j’ai essayé! Mais ce qu’il faudrait, c’est un truc qui mette en suspend les soucis qui sont liés à l’avancée du projet et l’existence de la boîte! Or, ce n’est pas possible… Comment faire pour oublier, pour zapper une anomalie à lever, un point qui coince, le marketing qui s’étire, des chiffres comptables qui ne collent pas, des soucis, des interrogations, de idées..
Perso, j’ai un mal de chien à faire cela… Mais, par chance, cela ne semble pas avoir de prise sur mon moral au quotidien : je fais mon job.
Mon job est de faire mon possible pour mener à bien Dress-Me : l’imaginer, fédérer, le créer ensemble, le faire connaître et arriver à se faire rejoindre par des investisseurs pour grandir plus vite.
Là, on en est entre la phase 3 et 4 : le créer et le faire connaître, avec un pied dans le 5, puisque les sessions Business Angel ont commencé.
Hélas, en cette période de choix fiscaux nationaux qui écartent certaines fortunes jusqu’ici à notre écoute, les fonds s’épuisent. Et trouver de la Smart Money en France, il faut un réseau, ou une traction que nous n’avons pas encore…
Alors, on continue d’avancer, jusqu’à épuisement de la bête de somme. le tout est de connaître les limites… Pour le moment, je ne les vois pas.
Alors, go?
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